Il poursuit son exploration artistique de l'univers des druides. Après le Chant de la Mandragore, il entreprend ici un voyage onirique et apaisé : il parcourt les quatre saisons celtiques, conjugue les éléments, les points cardinaux et les animaux qui leur sont liés, pour délivrer en quinze morceaux, une musique dynamique propre à la méditation, au voyage.