Olor dégage un monde onirique, où rêves et réalités se rejoignent pour faire danser les âmes mélancoliques d’enfants qui n’en sont plus.
Le duo nous emporte en douceur vers une succession de paysages voilés, de tableaux de brume chaude. L’on y suit les aventures de la voix claire d’Agathe, comme une caresse aux effluves de sagesse. On la sent voguer en toute quiétude sur des océans de plénitudes, offerts par les myriades de sons qui pleuvent des claviers de Simon.
Derrière les formes et les couleurs, on décèle une invitation au voyage immobile, au calme contemplatif.